Médias sociaux, transfert de connaissances et handicap: réflexion du CRISPESH


À l’heure de la distanciation sociale et du virtuel, les médias sociaux ont le vent en poupe. Prenons l’exemple du géant Facebook. En mai 2020, la compagnie rapportait plus de 2,6 milliards d’utilisatrices et d’utilisateurs actifs, parmi lesquel.les 1,7 milliard sur une base quotidienne (1). Devenu un lieu d’échange à grande échelle, le monde scientifique se tourne de plus en plus vers les médias sociaux pour diffuser ses résultats, mais aussi comme outil même de la recherche. Qu’il s’agisse de recruter les participantes et participants, de collecter des données ou d’interagir avec les différents acteurs et actrices de la recherche, les médias sociaux offrent des canaux de communication de plus en plus attractifs par leur portée sans précédent.

Les 26, 28 et 30 octobre derniers, nous avons assisté au congrès virtuel sur les stratégies de transfert de connaissances par les médias sociaux organisé par le KTDRR (Center on Knowledge Transfer for Disability and Rehabilitation Research). Parmi les nombreux sujets abordés, les enjeux éthiques associés à l’utilisation de ces plateformes dans le cadre d’activités de recherche ont rapidement attiré notre attention. Comment, en tant que Centre collégial de transfert (CCT) en pratiques sociales novatrices travaillant avec (et pour) les personnes en situation de handicap, peut-on intégrer la connaissance de ces enjeux afin de tirer le meilleur de ce que les médias sociaux ont à offrir, sans pour autant briser les barrières éthiques associées à cette population ? Cliquez ici pour lire l’article au complet.

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